28 novembre 2006

Amateurs de rouleaux de printemps?

Si par un heureux hasard vous êtes un amateur de rouleaux de printemps et que vous habitez la ville de Québec, allez donc faire un tour du côté de la Montagne Dorée, épicerie chinoise au coin de la rue St-Ignace et de Montmagny.

Je vous jure, ils sont tellement bons que c'en est péché!

24 novembre 2006

Ça fait peur!!!


You are The Tower


Ambition, fighting, war, courage. Destruction, danger, fall, ruin.


The Tower represents war, destruction, but also spiritual renewal. Plans are disrupted. Your views and ideas will change as a result.


The Tower is a card about war, a war between the structures of lies and the lightning flash of truth. The Tower stands for "false concepts and institutions that we take for real." You have been shaken up; blinded by a shocking revelation. It sometimes takes that to see a truth that one refuses to see. Or to bring down beliefs that are so well constructed. What's most important to remember is that the tearing down of this structure, however painful, makes room for something new to be built.


What Tarot Card are You?
Take the Test to Find Out.

Ça bouge

Mon chéri et moi avons commencé tranquillement à se magasiner une maison... tranquillement, c'est-à-dire qu'on a passé deux soirées complètes cette semaine à discuter avec des constructeurs, une autre soirée à se promener pour trouver un terrain sur la rive sud et l'autre à compléter la formule de pré-approbation hypothécaire. Je ne m'imaginais pas que c'était hot de même se magasiner une maison...

Il y a tellement de choses à penser pour ne pas avoir de mauvaises surprises!

Alors présentement, on hésite entre deux options : une maison plus esthétique sur le terrain du contructeur à Val-Bélair (à 45 000 pour 5000 pi/carrés) ou une maison mieux construite (Novoclimat, etc.) sur un terrain de la rive sud (à 30 000 pour 7775 pi/carrés).

Moi je vote pour la rive sud, parce que je viens de là, mais aussi parce que le terrain serait moins cher, plus grand, ce qui nous permettrait de prendre un maison à mon avis mieux construite.

Mais mon chéri vote pour l'autre...

J'ai deux problèmes concernant cette maison-là. Oui elle est plus belle, mais à 10 000 $ de moins que l'autre pour l'équivalent, on est en droit de se demander si elle est aussi bien construite, surtout que le représentant ne m'a pas fait une forte impression.

Payer 45 000$ pour un terrain... c'est pas un peu de l'abus ça? j'ai l'impression de me faire arnaquer et franchement, je n'aime pas ça.


16 novembre 2006

Encore un sujet de filles

Désolée pour les gars, mais j'aborde encore un sujet de filles... enfin, une préoccupation plus souvent féminine, soit la perte de poids . J'ai fait quelques excès dernièrement et j'aimerais perdre quelques livres superflues d'ici Noël, histoire de ne pas avoir ce petit ventre que je n'aime pas sur les photos!

Donc je me suis fixée un objectif (depuis lundi en fait) de 7 livres à perdre en 6 semaines. Pour l'instant, ça va bien, déjà une de perdue. Je crois que les 2-3 premières seront plus faciles à perdre que les 2-3 dernières... mais quand même, c'est un objectif réaliste!


8 novembre 2006

Le freak

Bon, je fais un retour sur le voisin freak. Je suis calmée, mais j'en ai appris plus encore sur la situation...

Le voisin pense que nous l'espionnons. Ça a commencé lorsque mon chum est sorti de l'appartement en même temps que lui avec sur le dos un chandail de laine. Le voisin a trouvé ça louche qu'il sorte en même temps que lui et sans manteau en plus. Puis il a reproché à mon chum de passer devant son stationnement souvent alors qu'il travaillait à l'extérieur. Mon chum avait stationné sa voiture dans la rue et devait l'utiliser, et il est allé à pied chercher de la bière. c'est vrai que c'est incriminant rare ça.

Alors pour confirmer ses doutes, il a collé son oreille contre notre mur commun et il a écouté ce qui se passait chez nous pendant 1 heure!!!!! On se demandera pas qui espione qui ici!!! Il nous entendais parler tout bas, ricaner et se promener... crisss y'a tu moyen qu'on fasse ce qu'on veux chez nous! S'il entendait parler bas.... c'est qu'on était dans le bureau, alors que lui écoutait ce qui se passait dans notre cuisine!

Si le gars écoute ce qui se passe chez nous, il va être déçu en tout cas, et il est mieux de s'arranger pour que je ne m'en rende pas compte.

Non mais, méchant détraqué ça, il a même été jusqu'à demander à mon chum s'il était de la police.

En tout cas je vous garantie que désormais toutes les serrures chez nous vont être verrouillées.

7 novembre 2006

Morte de peur

Merde là, je suis vraiment morte de peur... Notre voisin a des problèmes psychologiques, c'est sûr...

Il a dit à mon chum qu'on l'espionait... qu'on le surveillait... qu'on écoute ce qui se passe chez lui! Et il était ben enragé là!

Et là, je suis toute seule chez moi et je suis morte de trouille... F*ck le gars me fais freaker ben raide...

Il a même dit qu'il trouvait ça louche parce que la semaine passée on est sortis de l'appartement en même temps que lui...

ayoye, j'en shake...

6 novembre 2006

Coup de tête

Aujourd'hui, ça fait deux ans que je suis avec mon Chéri. Deux ans de bonheur...

Comme nous avions une fin de semaine chargée (avant-hier et hier), nous avions convenu de fêter ça en fin de semaine prochaine. Et aujourd'hui, sur un coup de tête, je nous ai acheté deux billets pour aller voir Jean-Thomas Jobin au Grand Théatre. D'ailleurs, je recommande chaudement son site web, qui est très drôle!

Conscience environnementale

On dirait que depuis que Chéri et moi essayons d'avoir un enfant, ma conscience environnementale est plus prononcée. C'est certain qu'en voulant un enfant, avant même qu'il soit créé, on souhaite déjà qu'il ait le meilleur.

D'où le lien avec ma conscience environnementale. Il est franchement temps que nous nous occupions de notre Terre, parce que notre situation ne s'améliore pas, bien au contraire. On n'a qu'à regarder ce qui ce passe avec le réchauffement de la planète, la déforestation, et les résultats de la pollution... je crois que ça résume assez bien la gravité de la situation, non?

Pour l'heure, voici ce que je fais pour l'environnement : je fais du covoiturage (avec mon chum), j'utilise des sacs d'épicerie réutilisables, je recycle tout ce qui se recycle, je réutilise mes sacs de plastique, j'ai ajouté ceci à ma signature électronique :



Devez-vous vraiment imprimer ce courriel ? Pensez à l'environnement...

Alors je me demande, il y a certainement beaucoup plus de choses que je peux faire, mais quoi?


**** EDIT : J'en oubliais un important aussi : Je boycotte carrément les verres de styromousse.

L'histoire bouillon de poulet de la semaine

À lire absolument...

Julie, Jean-François et la maison vide

Ne doutez jamais qu’un petit groupe de gens prévenants et dévoués puisse changer le monde. À coup sûr, c’est la seule chose qui ait jamais réussi à le changer. -Margaret Mead

Julie et Jean-François n’ont pas d’enfants. Je vous le dis comme ça, tout de suite, tout de go, que ce soit bien clair : leur maison est vide. Leur maison et la petite place dans leur cœur qu’ils gardent au chaud pour un petit qui n’arrive pas. Une petite place? Une énorme place qui pousse et qui grandit, au contraire du ventre de Julie. Voici donc leur histoire, une histoire pour les grands, une histoire sans petits.

Juste des amis

Il y a vingt ans, Julie a migré du Lac-Saint-Jean vers Québec. Elle a 16 ans, et encore un bel accent du pays des Bleuets, lorsqu’elle dépose ses malles sur son petit lit, dans la chambre qu’elle loue près du Cégep de Limoilou. Julie-du-Lac a l’avenir devant elle et elle ne s’en doute pas encore, mais une partie de son avenir dort dans la chambre au-dessus, un certain Jief-de-Fontainebleau. Il est aussi inscrit au Cégep de Limoilou, et trimballe avec ses 16 ans, des yeux bleu clair et des cheveux blond frisé. Aîné d’une famille de cinq enfants, il a quitté l’Estrie à la conquête de la grande ville… et sa Julie-du-Lac.

Ils ne sont que des amis. Qu’ils disent. Qu’ils répètent. Mais lors de ses visites à Fontainebleau, Jean-François mentionne souvent une Julie pétillante, qui fait partie de la « gang de gars » des chambreurs. Et plus les mois passent, plus il défend souvent « qu’elle est seulement une amie ». les yeux brillants et en rougissant! La première fois que Julie-juste-une-amie vient à Fontainebleau, personne n’est dupe sur le fait qu’elle ne conservera certainement pas ce statut encore longtemps! Le changement de titre n’a pas tardé et la brune Julie est devenue la blonde de Jief.

Julie et Jean-François

Les années ont passé, les deux tourtereaux se sont installés ensemble, ils ont appris la vie à deux, ont survécu aux difficultés des premières années (« il est boudeux », « elle est chialeuse »), se sont fait un nid. Un couple rare. De ceux que les difficultés soudent, qui avancent main dans la main, solides et confiants. Ils sont impressionnants. Vingt ans plus tard, on dirait encore un tout nouveau couple, qui se roucoule des mots doux (« mon p’tit biscuit »), qui se cajole et se regarde avec les yeux pleins d’étoiles. Ils sont beaux. Ils sont admirables. Ils sont de ceux qui permettent de croire que l’amour existe encore.

La maison vide

Après une dizaine d’années, il est question de bébés. Julie se sent prête, elle a mis du temps, ses inquiétudes ont été longtemps les plus fortes, mais son idée est faite. Pour Jean-François, la question ne se pose même pas! Il veut des enfants depuis tellement longtemps! Un cas pour la science : il était tout jeune, même ado, il disait qu’il voulait des p’tits plein sa maison lorsqu’il serait grand. C’est d’ailleurs quelque chose qui allait de soi… les enfants adorent ce grand gars calme, qui ne parle pas beaucoup, tout en douceur et en attention. Jean-François a l’instinct paternel, c’est clair! Ils feront des parents exceptionnels. Ils ont une vision semblable et réaliste de l’éducation, ils sont calmes et patients et ils font preuve d’une belle sagesse dans leur relation avec les enfants de leur entourage. C’est un couple qui a des bases solides et durables qui envisage de mettre au monde quelques bébés.

Ils ont fait du chemin et souhaitent fonder une famille… qui tarde… qui ne vient pas… Les doutes émergent, les questions, les inquiétudes de plus en plus nombreuses. La ronde des tests médicaux ne fait que commencer. Julie subit une opération douloureuse pour venir à bout -temporairement-, de l’endométriose dont elle souffre. À la suite de l’intervention, Julie et Jean-François savent que les mois sont comptés avant que les tissus n’envahissent à nouveau ses trompes et rendent la conception à nouveau impossible. Ils sont optimistes et la famille retient son souffle en attendant la Grande nouvelle.

L’attente est longue… les mois passent… la bedaine n’arrondit toujours pas… La Grande nouvelle ne vient pas.

Lorsqu’il apparaît que l’endométriose a repris le dessus, Julie et Jean-François se tournent avec espoir vers la fécondation in vitro. Julie subit à nouveau une série de tests, de traitement douloureux. Les injections, les prises de sang, les hormones, les prélèvements, les implantations… elle endure stoïquement à quatre reprises des mois de traitements, solidement appuyée sur son grand Jief, aux petits soins pour sa douce.

Trois anges

Le premier essai s’est soldé par un échec. Les embryons implantés n’ont pas tenu. La déception est indescriptible, mais il y a encore de l’espoir pour un nouvel essai qui lui se concrétise en une triple réussite! Trois petits sont bien solidement accrochés à leur maman qui les couve avec amour. Ils sont forts, ils sont en santé, ils sont grands… ils sont trop grands. À six mois de grossesse, les petits n’avaient plus de place, le travail se déclenche. Julie accouche de trois petits gars en santé, mais trop jeunes pour survivre. Félix, Émile et Antoine sont nés, ont été baptisés et sont morts dans les bras de leur père qui les a bercés jusqu’à la fin.

La famille au complet est en deuil de ses bébés tant attendus, tant espérés. S’il existe un Ciel, il y a là trois petits anges particulièrement sereins parce qu’ils ont été beaucoup aimés non seulement par leurs parents, mais par deux familles qui les attendaient avec impatience et qui se réjouissaient de leur arrivée.

Julie et Jean-François ont été impressionnants dans la tourmente. Soudés l’un à l’autre plus que jamais, ils ont traversé ensemble cette épreuve. Un peu plus tard, ils font une nouvelle tentative de fécondation in vitro, sans succès. Puis, deux ans après le décès de Félix, Émile et Antoine, le couple, toujours aussi uni et solide, tente un quatrième essai. Les deux petites pousses de bébés implantés ne survivent pas. À 36 ans tous les deux, endettés par le coût astronomique des traitements et des frais reliés à la grossesse de Julie, ils ne peuvent plus continuer. L’adoption, la dernière voie possible, est presque illusoire, c’est trop cher. C’est terminé.

La fin

Jean-François, c’est mon grand frère, Julie, c’est ma belle-sœur. Au cours des dernières années, au fil des coups durs qu’ils ont vécus, je me suis souvent demandé, tout comme les autres membres de la famille, ce que je pouvais faire pour les aider. C’est une question sans réponse et une question qui fait mal parce que peu importe comment le problème est abordé, le résultat est toujours le même : je ne peux rien faire. Rien. Rien. Rien. L’impuissance à l’état pur. Mais, je les aime et leur souffrance me fait mal. Ni eux ni nous ne pouvions rien devant l’état de la situation, devant l’endométriose, devant les traitements de fertilité, devant les échecs répétés, devant la mort de trois petits gars en santé. Est-ce de l’injustice? La fatalité? Un stupide destin contre lequel il n’y a rien à faire? Une aberration de la nature qui fait qu’on peut être parent sans avoir aucun talent pour le devenir ni même le désirer alors que d’autres qui auraient tout ce qu’il faut pour éduquer des enfants dans un cadre sain, équilibré et plein d’amour ne sont pas en mesure de le faire?

L’histoire de Julie, Jean-François et la maison vide pourrait se terminer ici. Tout bêtement, parce que c’est la vie et qu’il n’y a rien à y faire. La nature a décidé qu’ils ne pourraient pas avoir d’enfants, la médecine n’a rien pu pour eux, c’est tout. Fin.

Le refus global

Non. Ce ne sera pas la fin. Malgré les évidences, je refuse d’abdiquer. Je refuse de croire qu’il n’y a rien à faire. Parce qu’on n’a qu’une seule vie à vivre, je refuse que celle de Jean-François et Julie se poursuive dans une maison vide. Je refuse catégoriquement d’accepter que des personnes comme eux aient traversé ce calvaire pendant des années et pour être contraints quelques années plus tard à l’abandon pur et simple. Je refuse que ma belle-sœur ait miné sa santé, que tous les deux se soient endettés pour avoir accès à des traitements de fertilité, qu’ils aient investi autant pour se retrouver maintenant dans une maison sans enfants.
Je voudrais bien que le gouvernement appuie les couples qui souhaitent adopter des enfants ou avoir recours à des traitements de fertilité. Je voudrais remplir les berceaux vides des maisons où des couples équilibrés et amoureux n’y parviennent pas à cause d’un caprice de la nature. Je voudrais bien que les personnes irresponsables, immatures ou négligentes n’aient pas de « permis » de bébés. Mais, ce n’est pas ça la vie et je n’ai pas de pouvoir sur tout cela.
Mais, je peux en avoir pour cette situation précise où se trouvent mon frère et ma belle-sœur. Je ne peux pas changer le monde, mais je peux améliorer celui de ceux que j’aime. Je veux voir un bébé dans les bras de mon frère, je veux entendre ma belle-sœur consoler un petit qui pleure, je veux les voir se pencher au-dessus d’un berceau où dort un petit poussin qui grandira, empruntera les clés de la voiture et leur donnera des maux de tête.

L’espoir

À force d’y réfléchir, j’ai trouvé une piste, un petit bout d’espoir qui peut-être pourrait remplir la maison vide de Jean-François et Julie. J’y mettrai toute mon énergie, j’entraînerai ma famille et celle de Julie avec moi, j’y emmènerai nos amis, nos collègues, nos connaissances, j’y laisserai ma chemise s’il le faut. Je veux récolter des fonds pour permettre à mon frère et ma belle-sœur d’adopter un enfant. En faisant appel à tous nos contacts individuels, puis en demandant à ces derniers de faire de même, nous pourrions arriver à amasser l’argent nécessaire à l’adoption.
La famille, c’est sacré, ma famille, c’est sacré. Tout passe dans la vie, sauf la famille. C’est ce que je tente d’apprendre à ma propre fille qui grandit, bien entourée d’une famille élargie tricotée serrée. Quel est le sens de la vie? Ce n’est certainement pas d’accumuler biens et richesses, de travailler 80 heures par semaine, de détruire l’environnement et de souffrir devant une succession ininterrompue d’obstacles à surmonter. La vie n’a de sens que par l’amour qu’on est en mesure de donner aux autres (dixit ma maman) et il n’y a pas d’amour plus fort que celui, inconditionnel, que l’on retrouve au sein d’une famille équilibrée, entre des parents et leurs enfants. Peut-être alors est-il possible de créer une autre famille en réunissant deux parents pleins d’amour et un orphelin?

Et pour toutes ces raisons, mais d’abord et surtout parce que j’aime mon frère et ma belle-sœur, je trouverai l’argent nécessaire pour que la maison de Julie et de Jean-François soit bien remplie de rires d’enfants.

Une goutte d’eau dans l’océan ... qui fait toute la différence!

À l’image de la goutte qui tombe dans l’eau et fait des vagues de plus en plus loin, si chaque personne qui connaît Jean-François et Julie et qui comme moi, sait à quel point un enfant serait heureux auprès d’eux, transmet l’adresse de ce site à d’autres personnes qui pourraient être touchées par leur histoire, nous aurons bientôt rejoint beaucoup de gens. Et si chacune de ces personnes fait un don, même tout petit, même seulement un dollar, il y aura bientôt des rires d'enfants pour remplir la maison de Julie et Jean-François.

Ainsi, de moi à vous, de vous à vos amis, de vos amis à leurs collègues et de leurs collègues à leurs parents… nous aurons réalisé une chaîne de gens de bonne volonté!

Nous sommes le 1er novembre 2006. J’ai espoir et la volonté ferme de récolter 50 000 $ d’ici Noël. Ce qui permettra à Jean-François et Julie d’adopter deux enfants. La totalité des fonds, sans aucune exception, sera remis aux futurs parents. S’il advenait que nous dépassions le montant nécessaire à l’adoption, l’argent sera remis à une fondation soucieuse du bien-être des enfants. Cliquez ici pour savoir comment faire un don.

Julie et Jean-François ont été mis au courant de la démarche quelques jours avant sa mise en route. Ils sont infiniment touchés et à nouveau remplis d’espoir. Ils ont entrepris les procédures devant mener à l’adoption.

Je tiens à vous remercier du plus profond de mon cœur pour votre générosité.

Merci de contribuer à rendre ce monde meilleur.

Chantale Beaucher(sœur de Jean-François)
chantalebeaucher@cooptel.qc.ca